L’Exception l’a rencontrée pour connaître son quotidien de jeune créatrice.
L’Exception l’a rencontrée pour connaître son quotidien de jeune créatrice.
Alice Balas : À 9h, au son de France Inter. Snoozeuse par définition, je ne suis pas du matin même si je sais que l’avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt. Mais je m’améliore de jours en jours !
La douce voix d’Augustin Trapenard ou les mélodies de mes copains Polo & Pan.
La combi en cuir Alice Balas. Une pièce forte et super chic qui ne passe jamais inaperçue. Bientôt dispo à la boutique !
Une paire de lunette, un carnet qui est mon deuxième cerveau, et une miniature de mon parfum Bois D’Argent.
Plutôt plat du jour au Carreau, le resto en face de ma boutique. C’est délicieux, varié, et ils m’apportent même mon assiette au bureau lorsque je ne prends pas le temps de m’assoir à une de leur table.
Souvent trop tard car je m’investis beaucoup dans cette aventure. L’été, plutôt vers 20h pour profiter de la lumière et des apéros entre amis. L’hiver, plutôt 22h. La boutique reste allumée, et j’entends les gens parler ou regarder à travers la vitrine sans savoir que je suis encore à mon bureau, cachée derrière les rideaux.
Les restaurants de mes copains, selon les heures ou les quartiers : Le Lautrec, Le Petit Amour, Le Consulat, Le Pavillon Puebla, Le Café de la Poste.
Je suis plutôt super active de nature, et ne laisse pas beaucoup de place au repos. Je dirais donc oiseau de nuit, la plupart du temps. Mais dévorer un bon bouquin quand Paris s’endort, c’est tellement agréable.
Je me maquille très peu mais je vis à moto la journée, donc protéger la peau de mon visage à base de soins détoxifiants et hydratants m’est indispensable. Et je ne fais jamais l’impasse.