par L'Exception, le 9 juillet 2023
Découvrez nos marques ECO X CEPTION, des marques qui font avancer dans la bonne direction. Nous avons pu échanger avec Blandine Legait, l'une des fondatrices de Baserange.
Blandine : Marie-Louise (ma partenaire danoise) et moi nous sommes rencontrées à paris par une amie commune, et lorsque j’ai déménagé à Toulouse, nous avons décidé de lancer ensemble Baserange.
Nous sommes très complémentaires toutes les deux, Marie-Louise s’occupe de la création, du design et de l’image depuis Copenhague. Je m’occupe du marketing, des ventes, de la production, gestion et de la logistique, car l’entrepôt est basé ici à Toulouse.
Blandine : L’idée de départ était de développer des sous-vêtements seconde peau très confortable respectueux des formes naturelles et de l'écologie, avec en parallèle des vêtements minimalistes, aux coupes droites, et aux matières naturelles. Baserange signifie « assortiment de base » en anglais.
Blandine : Nous développons nos collections en étroite collaboration avec nos usines au Portugal, en France et en Turquie, en prenant en compte leurs contraintes et en essayant d’améliorer sans cesse nos processus pour le respect de l’environnement.
Nos matières principales sont le lyocell de bambou, le coton bio et depuis cette saison, le coton régénératif, le coton recyclé, le chanvre, le lin ou la laine, et la laine recyclée, toutes reconnues comme étant les plus écologiques qui soient.
Nous avons également développé des lignes en teintures végétales, et nous avons chaque saison une grande partie de nos collections, en tissu non-teint, car la teinture est une des étapes les plus impactantes aussi bien en termes d’énergie, que d’eau et de produits chimiques.
Nos emballages sont en papier recyclé, et nous favorisons le transport routier pour nos livraisons de production, et autant que possible pour nos clients européens.
Blandine : La qualité est la clef, l’impact d’un vêtement sur la planète est directement lié au nombre de fois qu’il sera porté avant d’être jeté.
Donc nous mettons tout en œuvre pour produire des pièces qui vont durer et dont on ne se lassera pas.
Plus de la moitié de nos modèles sont des permanents ce qui signifie qu’ils ne seront pas « périmés » après une saison de vente,
ainsi sur ces modèles nous n’avons pas d’invendus, de sur-stock, pas de soldes poussant à la consommation.
Et d’une manière générale, nos modèles étant plutôt minimalistes, ils sont assez intemporels, on ne s’en lasse pas.
Enfin nous avons décidé après quelques années de repasser de 4 à 2 collections saisonnières par an seulement, pour limiter intentionnellement le nombre de nouveautés, et se concentrer sur la qualité, les process, et la communication.
Blandine : Nous souhaitons progresser sur cette voie :
- Améliorer sans cesse la qualité de nos vêtements, et nos process pour les rendre moins impactant.
- Avoir une croissance raisonnée, qui respecte les équipes et les producteurs avec lesquels nous travaillons.
- Accompagner et soutenir les projets locaux qui permettent de recréer une mode fabriquée intégralement dans des régions proches.
- Développer l’upcycling que nous développons de manière expérimentale dans la boutique de Copenhague.
Découvrez nos coups de coeur Baserange chez L'Exception.
Pouvez-vous nous décrire le début de l’aventure Baserange ?
Blandine : Marie-Louise (ma partenaire danoise) et moi nous sommes rencontrées à paris par une amie commune, et lorsque j’ai déménagé à Toulouse, nous avons décidé de lancer ensemble Baserange.
Nous sommes très complémentaires toutes les deux, Marie-Louise s’occupe de la création, du design et de l’image depuis Copenhague. Je m’occupe du marketing, des ventes, de la production, gestion et de la logistique, car l’entrepôt est basé ici à Toulouse.
D’où vient l’inspiration pour votre marque ?
Blandine : L’idée de départ était de développer des sous-vêtements seconde peau très confortable respectueux des formes naturelles et de l'écologie, avec en parallèle des vêtements minimalistes, aux coupes droites, et aux matières naturelles. Baserange signifie « assortiment de base » en anglais.
Pouvez-vous nous en dire plus sur vos procédés de fabrication et les matières que vous utilisez ?
Blandine : Nous développons nos collections en étroite collaboration avec nos usines au Portugal, en France et en Turquie, en prenant en compte leurs contraintes et en essayant d’améliorer sans cesse nos processus pour le respect de l’environnement.
Nos matières principales sont le lyocell de bambou, le coton bio et depuis cette saison, le coton régénératif, le coton recyclé, le chanvre, le lin ou la laine, et la laine recyclée, toutes reconnues comme étant les plus écologiques qui soient.
Nous avons également développé des lignes en teintures végétales, et nous avons chaque saison une grande partie de nos collections, en tissu non-teint, car la teinture est une des étapes les plus impactantes aussi bien en termes d’énergie, que d’eau et de produits chimiques.
Nos emballages sont en papier recyclé, et nous favorisons le transport routier pour nos livraisons de production, et autant que possible pour nos clients européens.
Comment Baserange participe à une “slow fashion” ?
Blandine : La qualité est la clef, l’impact d’un vêtement sur la planète est directement lié au nombre de fois qu’il sera porté avant d’être jeté.
Donc nous mettons tout en œuvre pour produire des pièces qui vont durer et dont on ne se lassera pas.
Plus de la moitié de nos modèles sont des permanents ce qui signifie qu’ils ne seront pas « périmés » après une saison de vente,
ainsi sur ces modèles nous n’avons pas d’invendus, de sur-stock, pas de soldes poussant à la consommation.
Et d’une manière générale, nos modèles étant plutôt minimalistes, ils sont assez intemporels, on ne s’en lasse pas.
Enfin nous avons décidé après quelques années de repasser de 4 à 2 collections saisonnières par an seulement, pour limiter intentionnellement le nombre de nouveautés, et se concentrer sur la qualité, les process, et la communication.
Comment imaginez-vous l’avenir de Baserange ?
Blandine : Nous souhaitons progresser sur cette voie :
- Améliorer sans cesse la qualité de nos vêtements, et nos process pour les rendre moins impactant.
- Avoir une croissance raisonnée, qui respecte les équipes et les producteurs avec lesquels nous travaillons.
- Accompagner et soutenir les projets locaux qui permettent de recréer une mode fabriquée intégralement dans des régions proches.
- Développer l’upcycling que nous développons de manière expérimentale dans la boutique de Copenhague.
Découvrez nos coups de coeur Baserange chez L'Exception.
